Puisque aujourd’hui est le Grand jour du poème à l’autre, je m’en vais vous en recopier un joli tout rigolo, tiré de l'album Dans la tête à Topor, illustré par Les chats pelés.
« Le petit coiffeur
n’est jamais à l’heure.
Quand c’est pour la danse,
il est en avance.
Quand c’est à la gare,
il vient en retard.
Pour se faire excuser,
il donne des baisers :
« c’est pas moi,
c’est ma pendule,
qui avance
et qui recule ! »
« Le petit coiffeur
n’est jamais à l’heure.
Quand c’est pour la danse,
il est en avance.
Quand c’est à la gare,
il vient en retard.
Pour se faire excuser,
il donne des baisers :
« c’est pas moi,
c’est ma pendule,
qui avance
et qui recule ! »
ah oui, et puis aussi, en bonus, un p’tit de Louis Calaferte...
Généalogie
par mes arrière-arrière-arrière-
grands-grands-pépères et grand-mères-grand
et mères et pères et mères
et par ceux qui les précédèrent
tous ceux si loin si loin si vieux
si vieux zaïeux
par tous mes macchabées zancêtres
je suis de zorigine humaine
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