Voilà un film qu’on voit arriver avec ses gros sabots et qui repart comme il est venu : sans surprise. Ne laissant derrière lui qu’une impression de déjà vu*, de grosses ficelles et un bon vieux mal de crâne en prime (rapport au fait que ça braille, que ça va à dix mille à l’heure et que ça regorge de musiques épileptiques).
A part ça, les méchants sont bêtes et méchants, les gentils sont braves et gentils, même s’ils s’égarent parfois dans de mauvaises voies. Le doublage voix donne l’impression d’écouter les aventures de Oui Oui et de Winnie l’ourson pour la quatre-cent-douxième fois. Bref, dans ce monde merveilleux-là, je laisse volontiers ma place.
Le monde merveilleux de Impy, un film de Holger Tappe, d’après les livres de Max Kruse, en salle le 8 avril.
*Si vous avez vu Madagascar, je pense que vous méritez une dispense pour celui-ci.
A part ça, les méchants sont bêtes et méchants, les gentils sont braves et gentils, même s’ils s’égarent parfois dans de mauvaises voies. Le doublage voix donne l’impression d’écouter les aventures de Oui Oui et de Winnie l’ourson pour la quatre-cent-douxième fois. Bref, dans ce monde merveilleux-là, je laisse volontiers ma place.
Le monde merveilleux de Impy, un film de Holger Tappe, d’après les livres de Max Kruse, en salle le 8 avril.
*Si vous avez vu Madagascar, je pense que vous méritez une dispense pour celui-ci.
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