Si vous aussi, vous avez donné vie à un être humain dépassant à peine un mètre de haut, mais néanmoins fermement décidé à exterminer l’humanité entière à coup de canon, bazooka, mitraillette, missile intergalactique, épée laser, épée tout court, pistolet, glaive, surin, arc, et autre fusil à pompe… ce roman est pour vous ! Que dis-je, ce roman est pour lui !
Malgré les kilomètres qui nous séparent, et cet écran entre nous, cher lecteur, je sens que quelque chose en vous se détend…
(NB : si vous êtes le géniteur d’une mini princesse rose à cœurs roses, c’est normal que vous ne ressentiez rien, cette chronique ne vous concerne pas. Revenez plutôt demain, ou après demain, pour lire mes prochains messages)
…Car, oui, je vous le confirme, vous n’êtes plus seuls face à ce fléau. Et nul doute que Jean-François Chabas a dû être confronté à ces mêmes affres de parents pacifiques.
Mais comme il est très malin, ce sympathique Jean-François, il a écrit La balle fantôme. Une histoire aux allures de western moderne, qui se déroule dans la poussière du Nouveau Mexique, et qui devrait d’emblée accrocher votre micro Rambo. L’affaire tourne en effet autour d’un Colt Single Action Army, calibre 45, the revolver de la mort qui tue (pour une fois, ce n’est pas qu'une expression). Le narrateur, un gamin de 10 ans, pique un jour ce mignon petit jouet à son père, pour impressionner la fille dont il est amoureux (la psychologie masculine est parfois comme les voies du Seigneur : insondable). Sauf que le gosse se fait piquer son arme par un fou dingue des plus inquiétants…
Je ne vous raconte pas la fin, mais sachez tout de même que pour le héros du livre, cette aventure fait office de médicament, car après ça, il ne touche plus jamais une seule arme de sa vie. Well done, isn’t it ?
La balle fantôme, de Jean-François Chabas, collection Neuf de L’Ecole des loisirs, 8€.
Malgré les kilomètres qui nous séparent, et cet écran entre nous, cher lecteur, je sens que quelque chose en vous se détend…
(NB : si vous êtes le géniteur d’une mini princesse rose à cœurs roses, c’est normal que vous ne ressentiez rien, cette chronique ne vous concerne pas. Revenez plutôt demain, ou après demain, pour lire mes prochains messages)
…Car, oui, je vous le confirme, vous n’êtes plus seuls face à ce fléau. Et nul doute que Jean-François Chabas a dû être confronté à ces mêmes affres de parents pacifiques.
Mais comme il est très malin, ce sympathique Jean-François, il a écrit La balle fantôme. Une histoire aux allures de western moderne, qui se déroule dans la poussière du Nouveau Mexique, et qui devrait d’emblée accrocher votre micro Rambo. L’affaire tourne en effet autour d’un Colt Single Action Army, calibre 45, the revolver de la mort qui tue (pour une fois, ce n’est pas qu'une expression). Le narrateur, un gamin de 10 ans, pique un jour ce mignon petit jouet à son père, pour impressionner la fille dont il est amoureux (la psychologie masculine est parfois comme les voies du Seigneur : insondable). Sauf que le gosse se fait piquer son arme par un fou dingue des plus inquiétants…
Je ne vous raconte pas la fin, mais sachez tout de même que pour le héros du livre, cette aventure fait office de médicament, car après ça, il ne touche plus jamais une seule arme de sa vie. Well done, isn’t it ?
La balle fantôme, de Jean-François Chabas, collection Neuf de L’Ecole des loisirs, 8€.
2 commentaires:
Je suis sure que mes deux Princesses-à-cœurs-cibles seront ravies d'apprendre qu'il existe un médicament pour leur Rambo-de-frère... Merci ^^
mais je t'en prie! Quand on peut rendre service, hein...
(d'ailleurs, petit teasing : j'en ai un autre à venir, pour passer l'envie à ces petits morveux de devenir pirate... la révolution est en marche!)
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