jeudi 5 mars 2009

Ma famille nombreuse, 76 poèmes et 1 éléphant

« Peut-être que dans une famille nombreuse, on vient tous d’ailleurs » (extrait de Les deux accordéonistes)




Aujourd’hui, j’ai décidé de ne pas dire une seule fois le mot génial.
Mesdames et messieurs, je vous annonce donc… une chronique sans le mot génial dedans ! (là, ça compte pas, hein)
Et ce ne sera pas chose facile, car le livre dont je veux vous entretenir est tout bonnement… gé…ant ! Il est du genre vraiment gé…néreux ! gé…sticulant ! gé…patant! De gé…notype excellent !
Pensez donc : de la poésie, des images abracadabrantiques, un éléphant rose avec une queue en tire-bouchon, une famille foutraque et particulièrement très beaucoup nombreuse, des mots qui se baladent et qui dansent, des idées saugrenues, des évocations mélancoliques, des idées qui piquent… Voilà parmi les ingrédients qui ont servi à fabriquer Ma famille nombreuse, 76 poèmes et 1 éléphant, et comme dans toutes les familles nombreuses, ça fourmille encore d’un tas d’autres animaux, vermicelles, éclats de rire, accordéons…

Ma famille nombreuse, 76 poèmes et 1 éléphant, poésie de David Dumortier, illustrations de Lucile Placin, Rue du Monde, 16€.


NB. L’auteur, David Dumortier, animera un atelier d’écriture poétique le 18 mars, à la bibliothèque Benjamin Rabier, à Paris (19e).

Avant de nous quitter, je vous propose une petite charade :

Mon premier est un oiseau. Mon second est généralement accroché dans les arbres et les oiseaux lui dorment dedans. Mon troisième est une construction large et spacieuse sous laquelle se tiennent souvent des marchés. Si vous n’avez pas encore trouvé mon tout, c’est que vous êtes un lecteur distrait et peu fiable.

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