Et voilà, comme promis, encore quelques livres autour du thème de la Grande Pétoche…
Danse avec la nuit !
C’est la fin de la journée, Luna cherche une idée pour jouer, quand arrive Sombre Sire… qui n’est autre que l’ombre de la nuit qui entre par la fenêtre. Le vernis brillant qui représente cette nuit envahit peu à peu tout l’espace, jusqu’à faire le noir complet dans la pièce. Mais Luna, le noir, ça ne l’impressionne pas plus que ça, et voilà la gamine qui attrape Sombre Sire et l’envoie valdinguer dans le décor, dans un rock’n roll acrobatique ! Ou comment remettre à sa place l’obscurité et les peurs qu’elle inspire.
Danse avec la nuit !, d’Ella Burfoot, Nathan, 9,95€.
Le croqueur de cauchemars
Si vos enfants vous réveillent la nuit en transe parce qu’ils ont vu un cauchemar, embauchez tout de suite un Gloups. Ce gentil monstre se nourrit des cauchemars des enfants. Un cri dans la nuit ? Il accourt et se planque ensuite sous le lit, pour choper les cauchemars qui passeraient par là. A la fin du livre, une petite maquette de Gloups et un kit de 12 cauchemars en carton à lui faire avaler. Un geste psychosymbolicothérapeuthique probablement.
Le croqueur de cauchemars, de Kochka et Thomas Baas, Les albums du Père Castor, 12€.
Danse avec la nuit !
C’est la fin de la journée, Luna cherche une idée pour jouer, quand arrive Sombre Sire… qui n’est autre que l’ombre de la nuit qui entre par la fenêtre. Le vernis brillant qui représente cette nuit envahit peu à peu tout l’espace, jusqu’à faire le noir complet dans la pièce. Mais Luna, le noir, ça ne l’impressionne pas plus que ça, et voilà la gamine qui attrape Sombre Sire et l’envoie valdinguer dans le décor, dans un rock’n roll acrobatique ! Ou comment remettre à sa place l’obscurité et les peurs qu’elle inspire.
Danse avec la nuit !, d’Ella Burfoot, Nathan, 9,95€.
Le croqueur de cauchemars
Si vos enfants vous réveillent la nuit en transe parce qu’ils ont vu un cauchemar, embauchez tout de suite un Gloups. Ce gentil monstre se nourrit des cauchemars des enfants. Un cri dans la nuit ? Il accourt et se planque ensuite sous le lit, pour choper les cauchemars qui passeraient par là. A la fin du livre, une petite maquette de Gloups et un kit de 12 cauchemars en carton à lui faire avaler. Un geste psychosymbolicothérapeuthique probablement.
Le croqueur de cauchemars, de Kochka et Thomas Baas, Les albums du Père Castor, 12€.
The Midnight library, Bouche cousue
Voilà typiquement le genre d’histoires à lire si on est ado, sous une tente, avec une lampe de poche et des copains. Cris de frayeur et nuit blanche garantis. Le principe est simple et efficace : des gens normaux, dans la vie normale, et puis soudain, on bascule dans une atmosphère étrange, un univers fantastique. Et paf ! L’histoire dérape, les personnages se retrouvent dans une situation inextricable, de préférence horrifiante. A la dernière page, l’auteur laisse le lecteur en plan, seul avec ses angoisses, et ses compagnons de tente…
The Midnight library, Bouche cousue, de Nick Shadow, Nathan, 11€.
10 façons d’assassiner notre planète
Ceci est une excellente méthode pour devenir paranoïaque et neurasthénique en quelques heures à peine. Alain Grousset, sûrement diplômé de Sadisme International, a réuni pour nos chères têtes adolescentes une série de nouvelles signées des plus grands auteurs de science fiction. Chacun de ces textes met en scène un scénario catastrophe sur un sujet catastrophique : pollution, guerre atomique, surpopulation, manipulations génétiques… L’idée étant de suggérer le pire pour faire réagir le lecteur. Eh bien chez moi, ça a marché : j’ai réservé une chambre sur la station spatiale internationale.
10 façons d’assassiner notre planète, nouvelles réunies par Alain Grousset, collection Tribal, Flammarion, 7€.
La peur au cinema
Emmanuel Siety est un monsieur très intelligent, qui explique très bien pourquoi les films d’horreur fichent la trouille et comment les réalisateurs s’y prennent pour traumatiser des générations entières de spectateurs. Son analyse des mécanismes de la peur est passionnante, truffée d’exemples et de photos qui devraient évoquer au lecteur cinéphile de douloureux souvenirs.
Attention d’ailleurs aux effets secondaires : en ce qui me concerne, j’ai fait des cauchemars atroces après avoir lu ce livre (et je n’avais même pas de Gloups).
La peur au cinema, d’Emmanuel Siety, Actes Sud Junior/ la Cinémathèque française, 18€.
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