Dans la vie, y a les vernis et puis les chkoumouneux… C’est le cas de Laban, un très jeune fantôme suédois, qui a une super trouille du noir (et de pas mal d’autres choses). Pour un spectre, il faut bien l’avouer, ça la fout mal… Mais heureusement, dans le monde joyeux et pédagogique des œuvres culturelles pour la jeunesse, on a tous une deuxième chance et la possibilité un jour de surmonter son handicap de départ. Et je vais encore vous parler de ce Laban, qui bien que petit, froussard et fantomatique de nature, est parvenu à vendre plus d’un million de ses aventures livresques en Suède ! Naturellement, le cinéma s’est intéressé à lui, et le voilà aujourd’hui sur nos grands écrans, dans une série d’aventures charmantes.
Accompagnés par une voix off rassurante, les jeunes spectateurs sont traités ici avec respect. Le propos est très premier degré, mais il a ce qu’il faut de douceur et de spontanéité pour éviter le gnan-gnan. Les intrigues de ces six courts épisodes réunis en un long-métrage sont simplissimes et efficaces. Le tout avec quelques trouvailles sympas, comme le don d’imitation de la petite sœur Labolina, qui devrait ravir vos mini-rejetons.
Laban, le petit fantôme, de Per Ahlin, Lasse Persson et Alicja Jaworski, 44 minutes. A partir de 2 ans. En salle le 3 décembre.
Accompagnés par une voix off rassurante, les jeunes spectateurs sont traités ici avec respect. Le propos est très premier degré, mais il a ce qu’il faut de douceur et de spontanéité pour éviter le gnan-gnan. Les intrigues de ces six courts épisodes réunis en un long-métrage sont simplissimes et efficaces. Le tout avec quelques trouvailles sympas, comme le don d’imitation de la petite sœur Labolina, qui devrait ravir vos mini-rejetons.
Laban, le petit fantôme, de Per Ahlin, Lasse Persson et Alicja Jaworski, 44 minutes. A partir de 2 ans. En salle le 3 décembre.
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